“Si l’IA est le cerveau, le quantique est l’âme de la prochaine ère numérique.” Cette phrase de Michelle Simmons, physicienne australienne pionnière du quantique, résume bien l’enjeu. Des entreprises comme IBM, Google, ou la startup française Pasqal développent des ordinateurs capables de traiter des milliards de variables simultanément.

Leur potentiel est vertigineux : modélisation moléculaire, optimisation logistique, cryptographie inviolable. Mais comme le souligne Scott Aaronson, expert en complexité quantique :

“Le danger n’est pas que le quantique échoue, mais qu’il réussisse trop vite.”

Dans ce contexte, les leaders technologiques doivent anticiper les implications : sécurité des données, souveraineté numérique, fracture technologique. Le quantique n’est pas qu’une avancée — c’est une réécriture des règles du calcul et du pouvoir.

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